Des sujets où le visuel peut être un facteur essentiel
Il existe plusieurs thématiques abordées par ce type de livre, les plus courantes sont : l’art, la photographie, le cinéma, les voyages et la nature… etc
Les beaux livres se démarquent par leur qualité, leurs expositions et leurs photographies, ainsi que par les sujets qu’ils évoquent.
Le public visé par ce type de bouquin dépasse le cercle habituel des lecteurs. Les beaux livres sont faits pour être consultés et lus par des lecteurs et des non-lecteurs, de tout âge, grâce aux visuels qui prennent le pas sur les textes.
Ils peuvent être offerts comme des cadeaux très intéressants pour les fêtes de Noël, les anniversaires et autres événements.
La catégorie des beaux livres ne désigne pas un type d’ouvrage particulier, mais recouvre de nombreux thèmes comme la photographie, les voyages, la nature, les beaux-arts et la culture, mais aussi tout autre sujet où le visuel peut être un facteur essentiel.
Vous pouvez également trouver de beaux livres sur la cuisine et la gastronomie permettant d’illustrer les plats avec de superbes photos, et n’oublions pas le cinéma avec des illustrations des endroits choisis pour le tournage.
Subodh Gupta est artiste autant que cuisinier, érudit autant que chineur, sculpteur autant que peintre. La force plastique de ses sculptures lui ont permis de se forger une place de tout premier plan sur la scène artistique internationale. Depuis les années 1990, l’artiste construit ses œuvres à partir de vaisselle et d’ustensiles de cuisine métalliques présents dans tous les foyers indiens. Si l’acier inoxydable reste son matériau de prédilection, Gupta réinvente constamment les formes de son travail, pratiquant également la vidéo, la performance ou la peinture. Son œuvre est un agrégat de cultures : son histoire personnelle vient s’ajouter à celles de l’Inde, de la spiritualité, et du cosmos.
Œuvres emblématiques et productions monumentales inédites se côtoient dans les salons historiques et les cours du 11 Conti – Monnaie de Paris. Pour cette première exposition monographique en France, l’artiste nous fait voyager de la cuisine au cosmos dans l’une des plus vieilles manufactures du monde. Des essais et une chronologie, écrits par de grands spécialistes de son œuvre, reflètent la variété des points de vue sur cet artiste contemporain majeur.
Mains retrace douze années de travail du photographe Basil Pao, de ses voyages autour du monde, du nord au sud, d’est en ouest. Il a capturé des images de joie/ de labeur, d’amour, de violence ou d’espoir, offertes par les hommes et les femmes qu’il a rencontrés : chacune est un instant de vie, figé au creux de leurs mains. Un geste, un outil, une arme, un instrument de musique, un bijou… ces mains racontent des histoires, l’histoire des hommes.
Le romantisme est davantage qu’un courant artistique, c’est une conception de la vie. C’est l’approche de Jef Rademakers, auteur et ancien producteur de télévision à succès, qui est désormais avant tout un collectionneur d’art passionné. Il a rassemblé une centaine de tableaux romantiques de maîtres néerlandais et belges. Barend Cornelis Koekkoek, Andreas Schelfhout, David de Noter, Fredrik Marinus Kruseman, Jacob Abels, Basile de Loose et Petrus van Schendel : leurs réalisations étaient ‘révolutionnaires en leur temps’ estime Rademakers. Elles étaient l’expression d’une vision de l’existence en profonde mutation. Le revirement est en effet frappant, surtout dans leur approche de la nature. La nature, auparavant considérée comme un simple supermarché où l’on allait s’approvisionner en bois, en gibier et en fruits, devient une œuvre d’art en soi, où la main du Créateur se fait visible. Inondation, orage, tempête, vent violent, froid piquant : aucun élément n’est omis pour souligner la grandeur de la Création face à l’insignifiance de l’homme. L’art romantique devait aussi contrebalancer la dure réalité du quotidien, il rendait supportable la précarité de l’existence. La Collection Rademakers n’est pas passée inaperçue. Rademakers a été exceptionnellement invité à présenter quelque 70 oeuvres au Musée d’Etat de l’Ermitage à Saint-Pétersbourg. L’exposition poursuit depuis son périple qui passe par le Gemeentemuseum de La Haye, le M – Museum de Louvain, la B.C. Koekkoek-Haus de Clèves et le Sinebrychoffin Taidemuseo d’Helsinki.
Un regard romantique nous fait découvrir des scènes de genre, des vues de villes et des marines, mais aussi et surtout des paysages et des nocturnes dont la beauté donne littéralement le frisson.
À l’occasion de sa nouvelle exposition Le Mythe Cléopâtre, la Pinacothèque de Paris publie un nouveau portfolio. Alors qu’il existe très peu d’informations précises sur Cléopâtre VII Thea Philopator, la dernière reine d’Égypte, membre de la dynastie des Ptolémées, maîtresse de Jules César puis épouse de Marc-Antoine, a eu une vie qui est rapidement devenue légendaire. Malgré la rareté des sources historiques, ses amours et sa fin tragique ont suscité la fascination si bien que son histoire a très tôt inspiré les écrivains et les artistes.
La figure de Cléopâtre devient une figure iconographique majeure entre la fin du XVIe siècle et le XIXe siècle. Considérée tantôt comme une femme fatale, puissante et tentatrice, tantôt comme la victime de forces politiques qui la dépassent, tantôt comme une héroïne qui a préféré mourir plutôt que se de soumettre à son vainqueur, elle est immortalisée par les artistes et s’inscrit dans l’imaginaire populaire.
L’exposition débute par des œuvres archéologiques, avec la découverte du contexte historique dans lequel la reine vécut et la naissance du mythe l’entourant, dès la Rome antique. Elle illustre ensuite l’essor du mythe dans l’histoire des arts.
Présentation d’une sélection de soixante-quatorze chefs-d’œuvre, qui s’articulent autour de cinq sections illustrant les mouvements artistiques majeurs du XXe siècle : le Surréalisme, l’Abstraction de 1910 à l’immédiat après-guerre, le Nouveau réalisme, le Pop Art et les diverses tendances des années 60.
Les grandes figures du XXe siècle (Picasso, Miró, Balthus, Ernst, Soulages, Warhol.) côtoient dans ce catalogue d’autres artistes internationaux, non moins significatifs, nous permettant ainsi de « faire l’expérience du XXe siècle » selon les vœux du collectionneur.
Ils permettent de vivre des expériences enrichissantes
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Des hobbies de créations et bien d’autres encore
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Pour éveiller et susciter l’imagination des enfants
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